Les temps que nous vivons sont incertains et anxiogènes. Les médias et les réseaux sociaux n’y aident pas ! La crainte du lendemain est une réalité pour beaucoup, y compris pour les croyants même s’ils ont une espérance.
La dégradation de la nature à l’échelle de la planète, le non-respect de notre environnement, l’amenuisement des ressources naturelles, sans parler du réchauffement climatique dû en partie au gaz à effet de serre émis par l’homme.
Des signes annonciateurs
Il y a plus de quarante ans, le commandant Cousteau annonçait déjà qu’un tiers de la faune et de la flore sous-marine étaient polluées. Il disait cela sans savoir que le livre de l’Apocalypse annonçait que cela arriverait et que ce serait un signe annonciateur de la fin des temps.
Que dire de l’insécurité croissante, de la violence, de l’égoïsme et du délitement des mœurs où l’on appelle bien ce qui est mal et mal ce qui est bien. Un homme politique français n’a-t-il pas dit qu’il fallait même « adapter nos lois au mœurs de l’époque » !
Tout cela ne fait qu’empirer et donne le sentiment que les choses vont de pire en pire. La Bible ne nous prévient-elle pas à ce sujet en dénonçant pas avance ce qui arriverait dans les derniers temps ? Les choses n’iront pas en s’arrangeant, mais le croyant ne place pas son assurance et sa confiance dans les choses de ce monde, dans les hommes politiques qui sont impuissants ou dans les défenseurs de causes aussi nobles soient-elles, mais en Dieu. Son espérance est ailleurs, en son Dieu.
Souvenons-nous que « Les temps et les circonstances sont dans sa main.»
dit l’Ecriture
Notre patrie n’est pas de ce monde
Comme Noé, nous sommes invités à considérer les temps dans lesquels nous vivons, nous remettre entre les mains du Seigneur et toujours réaliser que notre patrie n’est pas de ce monde.
En attendant, Jésus nous invite à être le sel de la terre, la lumière dans les ténèbres et demeurer porteurs d’une parole d’espérance.
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